2 raisons physiques et une constatation, en fait :
1) Wikipédia nous renseigne sur le diamètre du coronavirus responsable du covid-19 et le situe à 125 Nm (Nanomètres).
D’autre part, la norme de filtration minimale d’un masque FFP3 (les + filtrants) est de 600 Nm.
Notons que les masques chirurgicaux (masques de rétention de l’haleine expirée), ou les masques filtrants (anti poussières), couramment utilisés ne retiennent que des particules de 3 Microns (3000 Nanomètres).
Le coronavirus qui nous intéresse a donc, au mieux ,6 fois la place pour passer les barrières proposées… !
Les pêcheurs diraient « votre bestiole ne fait pas la maille ! »
2)
La formation de biofilm a la surface d’un masque est bien documentée (cf. sources) et il s’avère que, très rapidement, (quelques heures) votre haleine et la surface particulièrement accueillante d’un masque ou d’un tissu peuvent favoriser la multiplication exponentielle d’un virus (ou d’une bactérie) de passage …
Pourquoi faire l’élevage de ce que l’on cherche à éliminer ?
3)
Constatons que, sur le porte-avions CDG, dans les EPHAD, dans les hôpitaux, dans tous ces lieux où on sait que le port du masque est bien respecté, constatons malheureusement que la propagation du virus s’est produite sans difficultés …
Voilà pourquoi je pense que toute cette dépense d’énergie et de moyens autour des masques est inutile et serait bien mieux utilisée sur d’autres voies, dépistages, identifications et soins spécifiques.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
[1]